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Mon journal impudique
Samedi 21 avril
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21:06
(Étant un couple proche de ma famille je tairais leurs noms pour les préserver.)
V est à la maison pour une nuit ou plus, son homme lui devrait partir dans la soirée. Après avoir couché les enfants, V, lui et moi nous possont dans le salon avec un verre histoire de discuter avant le retour de mon z'homme.(Enfin normalement, car il n'est pas rentré) Les problèmes qu'il y a entre eux sont visibles, ambiance tendue, allusion méchante et coup de gueule sont de la partie. J'ai beau essayer de garder l'église au milieu du village, rien à faire, ils campent tous les deux sur leur position. V à bout de nerf de cette discussion qui tourne en rond avale son somnifère et va se coucher me laissant seule avec son homme.(J'ai déjà coucher avec et V le sait.) Je nous ressers un verre et la discutais entre nous deux reprend. J'essaye de lui faire comprendre qu'elle n'a pas tout à faire tort et qu'il serait temps de faire des efforts vis-à-vis d'elle etc. etc. etc.mais ça n'a pas l'air de l'intéressé. Au lieu de m'écoutez il a les yeux rivés sur ma poitrine. Ça m'énerve ce genre de comportement et je ne manque pas de lui faire savoir. Il me sourit avec un air malicieux et me dit"donne-moi ton corps"What? Tu te fous de moi, je suis sérieuse, tu m'énerves! "Non je suis très sérieux aussi, j'ai envie de toi"Putain reste tranquille ta femme et juste à cot. "C'est bon arrête ton moral à deux balles, soit franc, tu en as aussi envie."Ce n'est pas la question, ça se fait pas.(Entre nous, oui j'ai envie) "Ok ok je reste sage! Pfff tu n'es pas marrante ce soir."Je sais mais soi!! Pour détendre l'atmosphère je nous re remet un verre.(Lol) Un peu emmécher que nous sommes, la conversation prend une tournure tout autre. D'abord il me confesse aimer sa femme plus que de raison mais de ne pas pouvoir s'en satisfaire et la minute suivante il fait une tentative de rapprochement sincèrement je suis aussi bourré que lui et je ne réagi pas quand il pose sa main sur ma cuisse. Il a sûrement pris ma non-réaction pour un ok va car la minute d'après il essayait de m'embraser. Pafff ma main sur sa gueule! Aie, merde-tu m'as fait mal. Tu n'as qu'à rester à ta place.(Oops, je voulais pas lui deviser la tête ainsi, je m'en veux un ch'ti peu.) Ah t'inquiète, je n'ai pas eu si mal que ça. Ouf Je suis dans la salle de bain quand mon téléphone sonne. Je reste chez G, ne m'attend pas" à demain". Heu... D'accord!(ça me fait chier mes tampis) Je vais me mettre en nuisette puis je regagne le salon. Il me fait remarquer que ce n'est pas une bonne idée de me trimballer dans une tenue pareil et que ce n'est pas comme ça qu'il va rester sage. Je lui dis en rigolant essaye un peu pour voir. Il me rétorque, c'est tout vu!(J'ai rougi) Tu rougis toi maintenant. Moi, non non! C'est l'alcool.(Menteuse que je suis) J'ai encore plus envie de toi, tu es trop belle les joues rougies.(Aie, j'ai des papillons dans le ventre maintenant) Je cache mon excitation, rougissant de plus en plus a ses avances et lui propose un dernier verre pour la route.(En espérant qu'après il parte) Tu veux me saouler ou quoi. Je réponds pas! Tu veux me saouler j'en suis sure! Tu sais, même bourrer j'arrive à bander!(Oops, démasquer) N'importe quoi, alors je te sers ou pas. Non, merci Princesse Piouf, que Princesse sonne bien venant de sa bouche. Ok, moi j'en bois un dernier puis-je te met à la porte et je vais me coucher. Nonn, pas déjà. Si si je suis fatiguée!(Et re mensonge. Lol) Mouais, je vois quand tu mens, faut pas me la faire à moi, je te connais trop pour ça. Franchement je préfère que tu t'en ailles et tu sais pourquoi! même si j'ai envie de toi. Alors tu vois que tu en as envie, donnes-toi, laisse-toi aller. Je peux pas faire ça avec V dans l'autre pièce. Tu ne crois vraiment que ça l'en nuirai.Je la réveille et on lui demande si tu veux. !Je rigole et lui dit, aller vas-t-en. Ok mais avant... Pas eut le temps de demander avant quoi, il m'a attrapé par la nuque et m'a embrassé. Il m'a caressé le visage, je n'ai pas pu le repousser. Il a glissé sa main sous ma nuisette, je n'ai eu aucune réaction de refus, j'ai même écarté les cuisses lui cédant le passage en ronronnant de plaisir. En quelques secondes je me tortillai de plaisir sous l'action de ses doigts entre mes cuisses. J'ai perdu la tête ondulant des hanches, il sait déshabiller à écarter mon string et sait placer, nu au-dessus de moi il frottait son gland sur ma vulve trempée et gonflée de désir . Je me déhanchais de plus belle, il m'a pénétré comme jamais, m'embrassant en même temps. Je rugis sous ses coups de reins, Je crie de plaisir grognant des "encore" confus et étouffé. Des spasmes m'ont transpercé, un orgasme phénoménal sait emparer de moi, il m'est retiré et m'a éjaculé sur la poitrine.(Enfin, sur la nuisette qu'il ne m'a pas ôtée) Honteuse, j'ai eu du mal à soutenir le regard de V se matin au petit déjeuner.
V est à la maison pour une nuit ou plus, son homme lui devrait partir dans la soirée. Après avoir couché les enfants, V, lui et moi nous possont dans le salon avec un verre histoire de discuter avant le retour de mon z'homme.(Enfin normalement, car il n'est pas rentré) Les problèmes qu'il y a entre eux sont visibles, ambiance tendue, allusion méchante et coup de gueule sont de la partie. J'ai beau essayer de garder l'église au milieu du village, rien à faire, ils campent tous les deux sur leur position. V à bout de nerf de cette discussion qui tourne en rond avale son somnifère et va se coucher me laissant seule avec son homme.(J'ai déjà coucher avec et V le sait.) Je nous ressers un verre et la discutais entre nous deux reprend. J'essaye de lui faire comprendre qu'elle n'a pas tout à faire tort et qu'il serait temps de faire des efforts vis-à-vis d'elle etc. etc. etc.mais ça n'a pas l'air de l'intéressé. Au lieu de m'écoutez il a les yeux rivés sur ma poitrine. Ça m'énerve ce genre de comportement et je ne manque pas de lui faire savoir. Il me sourit avec un air malicieux et me dit"donne-moi ton corps"What? Tu te fous de moi, je suis sérieuse, tu m'énerves! "Non je suis très sérieux aussi, j'ai envie de toi"Putain reste tranquille ta femme et juste à cot. "C'est bon arrête ton moral à deux balles, soit franc, tu en as aussi envie."Ce n'est pas la question, ça se fait pas.(Entre nous, oui j'ai envie) "Ok ok je reste sage! Pfff tu n'es pas marrante ce soir."Je sais mais soi!! Pour détendre l'atmosphère je nous re remet un verre.(Lol) Un peu emmécher que nous sommes, la conversation prend une tournure tout autre. D'abord il me confesse aimer sa femme plus que de raison mais de ne pas pouvoir s'en satisfaire et la minute suivante il fait une tentative de rapprochement sincèrement je suis aussi bourré que lui et je ne réagi pas quand il pose sa main sur ma cuisse. Il a sûrement pris ma non-réaction pour un ok va car la minute d'après il essayait de m'embraser. Pafff ma main sur sa gueule! Aie, merde-tu m'as fait mal. Tu n'as qu'à rester à ta place.(Oops, je voulais pas lui deviser la tête ainsi, je m'en veux un ch'ti peu.) Ah t'inquiète, je n'ai pas eu si mal que ça. Ouf Je suis dans la salle de bain quand mon téléphone sonne. Je reste chez G, ne m'attend pas" à demain". Heu... D'accord!(ça me fait chier mes tampis) Je vais me mettre en nuisette puis je regagne le salon. Il me fait remarquer que ce n'est pas une bonne idée de me trimballer dans une tenue pareil et que ce n'est pas comme ça qu'il va rester sage. Je lui dis en rigolant essaye un peu pour voir. Il me rétorque, c'est tout vu!(J'ai rougi) Tu rougis toi maintenant. Moi, non non! C'est l'alcool.(Menteuse que je suis) J'ai encore plus envie de toi, tu es trop belle les joues rougies.(Aie, j'ai des papillons dans le ventre maintenant) Je cache mon excitation, rougissant de plus en plus a ses avances et lui propose un dernier verre pour la route.(En espérant qu'après il parte) Tu veux me saouler ou quoi. Je réponds pas! Tu veux me saouler j'en suis sure! Tu sais, même bourrer j'arrive à bander!(Oops, démasquer) N'importe quoi, alors je te sers ou pas. Non, merci Princesse Piouf, que Princesse sonne bien venant de sa bouche. Ok, moi j'en bois un dernier puis-je te met à la porte et je vais me coucher. Nonn, pas déjà. Si si je suis fatiguée!(Et re mensonge. Lol) Mouais, je vois quand tu mens, faut pas me la faire à moi, je te connais trop pour ça. Franchement je préfère que tu t'en ailles et tu sais pourquoi! même si j'ai envie de toi. Alors tu vois que tu en as envie, donnes-toi, laisse-toi aller. Je peux pas faire ça avec V dans l'autre pièce. Tu ne crois vraiment que ça l'en nuirai.Je la réveille et on lui demande si tu veux. !Je rigole et lui dit, aller vas-t-en. Ok mais avant... Pas eut le temps de demander avant quoi, il m'a attrapé par la nuque et m'a embrassé. Il m'a caressé le visage, je n'ai pas pu le repousser. Il a glissé sa main sous ma nuisette, je n'ai eu aucune réaction de refus, j'ai même écarté les cuisses lui cédant le passage en ronronnant de plaisir. En quelques secondes je me tortillai de plaisir sous l'action de ses doigts entre mes cuisses. J'ai perdu la tête ondulant des hanches, il sait déshabiller à écarter mon string et sait placer, nu au-dessus de moi il frottait son gland sur ma vulve trempée et gonflée de désir . Je me déhanchais de plus belle, il m'a pénétré comme jamais, m'embrassant en même temps. Je rugis sous ses coups de reins, Je crie de plaisir grognant des "encore" confus et étouffé. Des spasmes m'ont transpercé, un orgasme phénoménal sait emparer de moi, il m'est retiré et m'a éjaculé sur la poitrine.(Enfin, sur la nuisette qu'il ne m'a pas ôtée) Honteuse, j'ai eu du mal à soutenir le regard de V se matin au petit déjeuner.
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De deux choses l’une: ou la parole vient à bout de l’érotisme, ou l’érotisme viendra à bout de la parole.Georges Bataille.
