Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 11:07

Tcheu déjà plus de six mois que je ne suis pas revenu sur mon blog! Beaucoup de choses se sont passé depuis, beaucoup de changements aussi.



Par misswestern - Publié dans : Mon histoire
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Vendredi 27 avril 5 27 /04 /Avr 23:42
Je discute avec Greg sur Msn comme tous les jours, très rapidement le sexe prend une grande place dans notre conversation. Après lui avoir avoué que je me masturbe quand il m'envoie ses cochonneries il me lance un pari.
Toute relation sexuelle interdite y compris en solitaire jusqu'a ce qu'on se voit!
J'accepte, motivée de gagner ce pari.
Je fais ma maligne, ahah ah facile!(Pas si sur, il me nargue le salop.)

Il dit avoir envie de moi, de me manger de me lecher.(J'ai chaud)
Je ne sais pas à quoi m'attendre avec lui, mais il m'attire c'est clair.Il m'attire tres fort et depuis un moment!
Quesque j'ai à perdre franchement, aller hop tu'a fait la fanfaronne maintenant tu dois assumer.(Rire) 

Ok on se vois jeudi. 
Quand j'arrive à sa voiture mon attirance pour lui se confirme.(Son regard sur moi est chaud, et ça me chavire.)
Sur l'autoroute il appuy sur l'accélérateur, moi qui en ai peur habituellement je me surprends à lui demander d'accélérer d'avantage.
Ça vibre sous mes fesses, j'aime cette vitesse.
Je ne sais s'il a remarqué le manege de mes jambes qui se croisent et se décroise mais il m'effleure la cuisse.(Frisson)

Je suis déjà tout excitée quand on arrive dans la petite chambre à miroir qui nous est réservée.Je m'allonge sur le dos, attendant je ne sais quoi, quand il se penche sur moi et m'embrasse. Il se rapproche encore plus se place au-dessus et continue à m'embrasser. Une vague de chaleur s'empare de moi et je commence à onduler sous son corps.Il ne se rend pas mon compte mais il a allumé un incendie qu'il va maintenant devoir éteindre.

Ses mains se baladent sur mon corps, sa bouche s'attarde dans mon cou, sur mes joues, et mes lèvres.J'ôte tout le haut d'un seul coup, il dépose ses lèvres sur ma poitrine, ses mains sur mon ventre et me fais perdre la tete. Il a les lèvres douces, c'est bon sur le bout de mes seins tendu de désir.Il me caresse et me lèche encore et encore quel plaisir et en même temps quesque j'ai envie qu'il descende plus bas.(Suplice)
Chose faite, ou presque, il enlève mon pantalon et joue des doigts sur mes cuisses. Il aime torturer mes sens, il m'avait prévenu.Je perds tout contrôle de la situation, c'est lui qui mène la danse et quesque j'aime ça. 
C'est au tour de mon string de glisser le long de mes jambes, je suis entièrement nue, à sa merci... Ohhh oui!
Il joue encore au supplice, ses mains qui me caressent tantôt tendre tantôt appuyer, ça me rend dingue.
Son visage se rapproche de plus en plus de mon entre jambes, moi je suis de plus en plus tremblante. Il depose sa langue sur mon vagin, je fonds.
Il me lèche, me titille le clito, je perds tous mes moyens, me tortille dans tout le sens.Il glisse un doigt dans mon vagin, me lèchent en même temps, je suis aux anges. Il fouille, accélère et moi je suffoque. Une onde de plaisir s'empare de moi, je ne me contrôle plus. Il s'active sur mon point g avec une dextérité incroyable, je suis trempée tellement je prends mon pied.Je gémis de plaisir, il continue...de plus en plus vite, je jouis. Ça coule sur ses mains, il continue, continue, continue. Je jouis, encore, encore, jouissance en rafale. Stop, laisse mon respirer!
J'ai à peine repris mes esprits qu'il recommence se va et vien appuyer sur ce fameux point qui me procure autant de jouissance.Des gémissements et des petits cris s'échappent de ma bouche, il continue, ça dégouline sur mes fesses, je jouis.(Encore, encore)
Je dois reprendre mes esprits, il s'allonge, je l'embrasse encore toute tremblante.Je glisse le long de son corps, prend son sexe dans ma main et l'introduit dans ma bouche. Lentement je le déguste, j'aime son gout.
Je sens son sexe s'énerver dans ma bouche, il a des petits spasmes, j'adore. Je lèche, je suce et le masturbe de plus en plus vite de plus en plus fermement.(Stop, je veux pas qui me lâche maintenant.)
Je me mets au-dessus de lui et il me pénètre. Je m'offre à lui sans retenue. Je monte, descent, ondule sur son sexe, il me caresse m'agrippe, ça lui coule dessus, je gémis, je jouis.
Je me lève lui fait signe de me suivre, direction une chaise à proximité, il s'assoie et je m'empale sur son sexe. Je recommence à monter et descendre, il me met des coups de reins, m'attrape par les hanches me souleve, me rabaisse. Il y a plus de limite je jouis ça lui coule dessus à grande dose.Il continue son va et vient, je suis au septième ciel, les jambes qui tremble, des spasmes qui me secoue, j'ai un orgasme d'enfer.Je suis totalement déconnecté. Je sens du froid dans mon dos, me rend compte qu'il m'a plaqué contre un mur, puis les fesses sur la tablette de lit. Il n'arrête pas, me donne des coup de reins de plus en plus violent, j'explose de jouissance.
Je me glisse sur le ventre dans le lit, il me pénètre à grands coups, me maintient les jambes je ne sais comment, je suis prise à nouveau de spasmes incontrôlables, et l'orgasme s'empare de nous.
J'aurais voulu rester dans ses bras mais l'heure de rentrer à sonner. Il m'a prise dans ses bras et ma câliner un cours instant que j'aurai aimé plus long.
je n'ai jamais jouie comme ça et ma seule obsession à présent... Recommencer!
Par misswestern - Publié dans : Histoire vecu
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Mercredi 25 avril 3 25 /04 /Avr 20:39

Quelle est cette chimère impuissante et stérile, 

Cette divinité que prêche à l’imbécile 

Un ramas odieux de prêtres imposteurs ? 

Veulent-ils me placer parmi leurs sectateurs ? 

Ah ! jamais, je le jure, et je tiendrai parole, 

Jamais cette bizarre et dégoûtante idole, 

Cet enfant de délire et de dérision 

Ne fera sur mon cœur la moindre impression. 

Content et glorieux de mon épicurisme, 

Je prétends expirer au sein de l’athéisme 

Et que l’infâme Dieu dont on veut m’alarmer 

Ne soit conçu par moi que pour le blasphémer. 

Oui, vaine illusion, mon âme te déteste, 

Et pour t’en mieux convaincre ici je le proteste, 

Je voudrais qu’un moment tu pusses exister 

Pour jouir du plaisir de te mieux insulter. 

Quel est-il en effet ce fantôme exécrable, 

Ce jean-foutre de Dieu, cet être épouvantable 

Que rien n’offre aux regards ni ne montre à l’esprit, 

Que l’insensé redoute et dont le sage rit, 

Que rien ne peint aux sens, que nul ne peut comprendre, 

Dont le culte sauvage en tous temps fit répandre 

Plus de sang que la guerre ou Thémis en courroux 

Ne purent en mille ans en verser parmi nous ? 

J’ai beau l’analyser, ce gredin déifique, 

J’ai beau l’étudier, mon œil philosophique 

Ne voit dans ce motif de vos religions 

Qu’un assemblage impur de contradictions 

Qui cède à l’examen sitôt qu’on l’envisage, 

Qu’on insulte à plaisir, qu’on brave, qu’on outrage, 

Produit par la frayeur, enfanté par l’espoir, 

Que jamais notre esprit ne saurait concevoir, 

Devenant tour à tour, aux mains de qui l’érige, 

Un objet de terreur, de joie ou de vertige 

Que l’adroit imposteur qui l’annonce aux humains 

Fait régner comme il veut sur nos tristes destins, 

Qu’il peint tantôt méchant et tantôt débonnaire, 

Tantôt nous massacrant, ou nous servant de père, 

En lui prêtant toujours, d’après ses passions, 

Ses mœurs, son caractère et ses opinions : 

Ou la main qui pardonne ou celle qui nous perce. 

Le voilà, ce sot Dieu dont le prêtre nous berce. 

 

Mais de quel droit celui que le mensonge astreint 

Prétend-il me soumettre à l’erreur qui l’atteint ? 

Ai-je besoin du Dieu que ma sagesse abjure 

Pour me rendre raison des lois de la nature ? 

En elle tout se meut, et son sein créateur 

Agit à tout instant sans l’aide d’un moteur. 

A ce double embarras gagné-je quelque chose ? 

Ce Dieu, de l’univers démontre-t-il la cause ? 

S’il crée, il est créé, et me voilà toujours 

Incertain, comme avant, d’adopter son recours. 

Fuis, fuis loin de mon cœur, infernale imposture ; 

Cède, en disparaissant, aux lois de la nature 

Elle seule a tout fait, tu n’es que le néant 

Dont sa main nous sortit un jour en nous créant. 

Évanouis-toi donc, exécrable chimère ! 

Fuis loin de ces climats, abandonne la terre 

Où tu ne verras plus que des cœurs endurcis 

Au jargon mensonger de tes piteux amis ! 

Quant à moi, j’en conviens, l’horreur que je te porte 

Est à la fois si juste, et si grande, et si forte, 

Qu’avec plaisir, Dieu vil, avec tranquillité, 

Que dis-je ? avec transport, même avec volupté, 

Je serais ton bourreau, si ta frêle existence 

Pouvait offrir un point à ma sombre vengeance, 

Et mon bras avec charme irait jusqu’à ton cœur 

De mon aversion te prouver la rigueur. 

Mais ce serait en vain que l’on voudrait t’atteindre, 

Et ton essence échappe à qui veut la contraindre. 

Ne pouvant t’écraser, du moins, chez les mortels, 

Je voudrais renverser tes dangereux autels 

Et démontrer à ceux qu’un Dieu captive encore 

Que ce lâche avorton que leur faiblesse adore 

N’est pas fait pour poser un terme aux passions. 

 

Ô mouvements sacrés, fières impressions, 

Soyez à tout jamais l’objet de nos hommages, 

Les seuls qu’on puisse offrir au culte des vrais sages, 

Les seuls en tous les temps qui délectent leur cœur, 

Les seuls que la nature offre à notre bonheur ! 

Cédons à leur empire, et que leur violence, 

Subjuguant nos esprits sans nulle résistance, 

Nous fasse impunément des lois de nos plaisirs 

Ce que leur voix prescrit suffit à nos désirs. 

Quel que soit le désordre où leur organe entraîne, 

Nous devons leur céder sans remords et sans peine, 

Et, sans scruter nos lois ni consulter nos mœurs, 

Nous livrer ardemment à toutes les erreurs 

Que toujours par leurs mains nous dicta la nature. 

Ne respectons jamais que son divin murmure ; 

Ce que nos vaines lois frappent en tous pays 

Est ce qui pour ses plans eut toujours plus de prix. 

Ce qui paraît à l’homme une affreuse injustice 

N’est sur nous que l’effet de sa main corruptrice, 

Et quand, d’après nos mœurs, nous craignons de faillir, 

Nous ne réussissons qu’à la mieux accueillir. 

Ces douces actions que vous nommez des crimes, 

Ces excès que les sots croient illégitimes, 

Ne sont que les écarts qui plaisent à ses yeux, 

Les vices, les penchants qui la délectent mieux ; 

Ce qu’elle grave en nous n’est jamais que sublime ; 

En conseillant l’horreur, elle offre la victime 

Frappons-la sans frémir, et ne craignons jamais 

D’avoir, en lui cédant, commis quelques forfaits. 

Examinons la foudre en ses mains sanguinaires 

Elle éclate au hasard, et les fils, et les pères, 

Les temples, les bordels, les dévots, les bandits, 

Tout plaît à la nature : il lui faut des délits. 

Nous la servons de même en commettant le crime 

Plus notre main l’étend et plus elle l’estime. 

Usons des droits puissants qu’elle exerce sur nous 

En nous livrant sans cesse aux plus monstrueux goûts. 

Aucun n’est défendu par ses lois homicides, 

Et l’inceste, et le viol, le vol, les parricides, 

Les plaisirs de Sodome et les jeux de Sapho, 

Tout ce qui nuit à l’homme ou le plonge au tombeau, 

N’est, soyons-en certains, qu’un moyen de lui plaire. 

En renversant les dieux, dérobons leur tonnerre 

Et détruisons avec ce foudre étincelant 

Tout ce qui nous déplaît dans un monde effrayant. 

N’épargnons rien surtout : que ses scélératesses 

Servent d’exemple en tout à nos noires prouesses. 

Il n’est rien de sacré : tout dans cet univers 

Doit plier sous le joug de nos fougueux travers. 

Plus nous multiplierons, varierons l’infamie, 

Mieux nous la sentirons dans notre âme affermie, 

Doublant, encourageant nos cyniques essais, 

Pas à pas chaque jour nous conduire aux forfaits. 

Après les plus beaux ans si sa voix nous rappelle, 

En nous moquant des dieux retournons auprès d’elle 

Pour nous récompenser son creuset nous attend ; 

Ce que prit son pouvoir, son besoin nous le rend. 

Là tout se reproduit, là tout se régénère ; 

Des grands et des petits la putain est la mère, 

Et nous sommes toujours aussi chers à ses yeux, 

Monstres et scélérats que bons et vertueux.

 

Sade.

Par misswestern - Publié dans : Marquis de Sade
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Mercredi 25 avril 3 25 /04 /Avr 19:15
Envie incontrôlable de me masturber en cours de Français.



J'ai un incendie entre les jambes qu'il faut absolument que j'éteigne.



C’est ma première masturbation en public et il faut que je sois prudente car je risque de me faire prendre et de me faire virer par lamême occasion.



Je décroise mes jambes très lentement, profitant que la prof ne regarde pas vers moi. Je glisse ma main dans mon pantalon, pour caresser mon clito.



Je regarde soudain une voisine de classe. Elle a les yeux posés sur moi et sourit. Je lui souris à mon tour et, loin de m’inhiber cela m’encourage à continuer. 



Elle plonge son regard dans le mien, ça me rend folle. La chaleur monte. 



Je me tripote très lentement en faisant gaffe de ne pas gémir, malgré mon envie folle de crier de plaisir, je suis vraiment très chaude ce matin.



Mon imagination s'envole, je veux qu'elle me fasse des cochonneries indescriptibles. 



J’ai envie de me tordre de plaisir sur ma chaise mais je fais de mon mieux pour dissimuler ce cocktail explosif de sensations qui m'enivrent .



Cette masturbation risque de me faire perdre la tête, je me lève et quitte la classe bien décidée à en finir aux toilettes.



À peine la porte refermée sur moi, la sonnerie d'inter court retenti et c'est la ruer dans les wcs.



Je lâche l'affaire pour l'instant. . . 

		
Par misswestern - Publié dans : Solo
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Lundi 23 avril 1 23 /04 /Avr 15:33

Pour la petite histoire, j'ai fait la connaissance de Greg sur un site de rencontres bien connu. Nous étions attirés l'un par l'autre, et nous avions tous les deux les mêmes envies sexuelles. Maintenant c'est devenu un bon ami/amant avec qui je partage beaucoup.

 

 

J'étais devant mon petit écran de portable, et comme tous les jours depuis un certain temps, Grégory et moi discutions de tout et de rien sur internet.

Bizarrement ce jour-là, il m'ennuyait. J'avais envie qu'il me parle de ce qu'il aime, de ce qui l'excite. J'ai posé la question et il y a répondu.

Rien qu'a l'imaginer me fessant toutes ses choses, j'étais déjà toute mouillée! J'ai commencé à me caresser la chatte à travers mon jean, j'avais envie de lui décrire chacun de mes gestes mais je n'ai pas osé.

Il continuait à taper sur son clavier et chaque mot qu'il écrivait provoquait comme des frissons dans mon entre-jambes. J'ai commencé à ouvrir mon pantalon et l'ai enlever.

Pendant qu'il s'acharnait avec ses messages pensant que je n'étais plus devant mon écran, j'ai fermé les yeux et je me suis mise à fantasmer.

 

"Je l'appelais pour faire monter l'excitation, il est content de mon initiative! Je lui demande si son membre devient dur, et il me répond qu'il ne l'a en main et n'attent que ma bouche. Je me caresse le clito, c'est divinement bon. Il me dit qu'il est en train de se masturber, ça m'excite. Greg me dit d'imaginer ses mains, ce qui n'est pas difficile. J'suis très excitée, je mouille comme une salope, c'est trop bon, je me mets un doigt, puis deux puits trois, je sens que je vais jouir et je veux que Greg l'entende! Je reviens sur mon clito qui est très excité, et n'attend qu'à être léché par une belle langue experte. Je m'imagine déjà avec Greg entre mes jambes, hummmm je jouis c’est bon."

 

 J'ai vraiment aimé, et sûr que la prochaine fois, je ne serai pas seule pour me caresser!

Par misswestern - Publié dans : Solo
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De deux choses l’une: ou la parole vient à bout de l’érotisme, ou l’érotisme viendra à bout de la parole.Georges Bataille.

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