J'en ai assez de ses coups de reins matinaux, ceux qui finisse avant d'avoir commencé. Presque tous les matins, il se masturbe dans le silence de notre chambre. Encore à moitié endormie, je le sens, j'entends ses gémissements. Il sait que ça réveille l'envie en moi, et il n'essaie même pas de camoufler ses râles. Il se frotte, me caresse à peine, et me grimpe dessus. Un coup vite fait, il prend son pied et quitte le lit. Je reste les jambes écartées pleine de désir et de frustrations. Il sort de l'appartement, et moi je me fais jouir, sans lui. 

Ce matin, je fais mine de dormir et reste indifférent à ses va et vient sur mes fesses. Il me caresse encore et encore puis finalement je me laisse faire. Il me deshabille, le sexe en erection, gonfler de l'envie de me pénétrer, je ne dis rien. Il m'électrise, je frissonne et je me retiens pour ne pas lui donner la joie de m'entendre gémir de plaisir. Il approche son visage de mon sexe, je sens la douceur de son souffle qui se transforme en baiser torride sur mon vagin n'attendant que ça. Je soupire, ma poitrine monte et descend, il savoure les réactions de mon corps. Des spasmes et un liquide inondent mon sexe, je lui offre des gemisemement qui font me couter cher. Il sourit de me voir perdre la tete, pleine de plaisir, et de désir pour lui. Il se lève sans un mot et sort de la chambre. Incapable de bouger, j'entends la douche couler puis la porte claquée. Il est parti!

À suivre. . . .